Posté par Marion Rollandin, mis à jour le 04 avril 2016
De l’imposture à la posture dans l’analyse d’un terrain fréquenté pour le loisir : le cas du chercheur-joueur
3ème journée d’étude des doctorant.e.s du CERLIS, pôle lien social et culturalisation, « Entre posture et imposture : penser l’idée de vérité dans le travail de recherche », Université Sorbonne Nouvelle, Paris.
25 novembre 2013Interactions avec l'environnement social, économique et culturel (Notamment contrats de recherche, rencontre, journée d'études…)
Dans cette communication, j’ai analysé le sentiment d’imposture que l’on peut ressentir lorsque l’on décide de faire un travail d’observation participante dans un dispositif médiatisé informatisé que l’on fréquente aussi pour le loisir qui nous dote du double rôle de chercheur-participant. L’objectif était de rendre contre compte de pistes de réflexion permettant de dépasser ce sentiment d’imposture et d’en faire une réelle posture de recherche. Cette construction de la posture de recherche a été présentée selon trois rapports à gérer : le rapport à l’objet-terrain, le rapport aux enquêtés, et le rapport au public universitaire.