Les étudiants des classes préparatoires littéraires, en commençant leurs études supérieures, sont confrontés à de nouveaux types et de nouveaux rythmes de lecture. En général bons élèves au lycée, attirés par la lecture en tant que pratique de loisir, leur entrée en hypokhâgne est l’occasion de construire de nouvelles pratiques de lecture, désormais en grande partie liées à leur travail scolaire. Ils sont ainsi amenés à renégocier ce qui, dans leurs lectures, relève du « travail » ou du « loisir ».
Mots-clés : pratiques de lecture, classes préparatoires, enseignement supérieur, travail scolaire, loisir culturel, littérature, formation