Je reviens sur mon interprétation d’un texte et d’une expression Baudouin qui n’ont cessé de me faire réfléchir. Je m’interroge sur les « nouveautés perturbatrices » qui nous viendraient des sciences de la nature. Je tente de préciser la manière dont les sciences humaines et sociales peuvent assumer et revendiquer non pas un rôle par rapport à la prétention des sciences à transformer la réalité mais une perspective tracée par le désir de scientificité.
Posté par Joëlle Le Marec, mis à jour le 07 août 2020