La présente publication se propose d’interroger le devenir artistique de la photographie de presse en analysant le projet #Dysturb, inauguré par un collectif de photojournalistes français en février 2014. En présentant une application sémiotique du concept d’ « horizon d’attente », l’auteur suggère de comprendre le cas #Dysturb comme la circulation de photographies de presse à travers des espaces et des temporalités différents. Le devenir artistique est alors l’une des variables présupposées par les horizons d’attentes du projet.
Posté par Maxime Fabre, mis à jour le 03 avril 2017